Status
En cours
Acronyme du projet
ESSAG
Sous la coordination de l'Université de Gand, le Belgian Cancer Registry (BCR) collabore avec les centres universitaires flamands de médecine générale, Sciensano et le Centrum voor Kankeropsporing (CvKO) (Centre de détection du cancer) afin d'évaluer le potentiel et les résultats cliniques des stratégies visant à proposer auto dépistage du Human Papillomavirus (HPV) (papillomavirus humain) pour le dépistage du cancer du col de l'utérus en Flandre.
Actuellement, environ un tiers du groupe cible ne profite pas de l'offre de dépistage en Flandre, ce qui est en partie dû à des facteurs socio-économiques. En outre, l'Organisation mondiale de la santé recommande la détection du papillomavirus comme test de dépistage initial au lieu du frottis actuel.
L'étude ESSAG vise à évaluer une intervention destinée à mieux aider les femmes qui n'ont pas subi de dépistage du cancer du col de l'utérus depuis longtemps (au moins 6 ans) à faire un choix éclairé en matière de dépistage et à leur fournir un accès à bas seuil au dépistage par le biais d'un autotest de détection du HPV si elles souhaitent se faire dépister.
L'étude consiste en un Randomized Clinical Trial (RCT) (Essai clinique randomisé) avec trois groupes d'étude regroupés par cabinet de médecine générale. Les groupes d'intervention ont été divisés comme suit : (1) recrutement actif lors de la consultation par le propre médecin généraliste, et (2) envoi de l'autotest à domicile par le propre médecin généraliste. Le groupe témoin reçoit l'invitation standard pour le dépistage de la population du CvKO.
Les données CvKO et BCR facilitent le recrutement ciblé des cabinets de médecins généralistes et de leurs patients. Les données de l’RCT sont liées aux données sur la participation au dépistage (via ou non l'autotest) et aux résultats cliniques de celui-ci. En outre, le lien avec le statut socio-économique est étudié à un niveau agrégé via un lien avec la Bureau Carrefour de la Sécurité Sociale (BCSS).
Les résultats de l'étude ESSAG seront publiés dans des revues scientifiques et communiqués à Kom op tegen Kanker (en tant que sponsor du projet). Ce projet fournira des informations importantes pour l'organisation future du Vlaams Bevolkingsonderzoek Baarmoederhalskanker, qui communiquera également les résultats de la recherche au gouvernement flamand et au groupe cible.
Actuellement, environ un tiers du groupe cible ne profite pas de l'offre de dépistage en Flandre, ce qui est en partie dû à des facteurs socio-économiques. En outre, l'Organisation mondiale de la santé recommande la détection du papillomavirus comme test de dépistage initial au lieu du frottis actuel.
L'étude ESSAG vise à évaluer une intervention destinée à mieux aider les femmes qui n'ont pas subi de dépistage du cancer du col de l'utérus depuis longtemps (au moins 6 ans) à faire un choix éclairé en matière de dépistage et à leur fournir un accès à bas seuil au dépistage par le biais d'un autotest de détection du HPV si elles souhaitent se faire dépister.
L'étude consiste en un Randomized Clinical Trial (RCT) (Essai clinique randomisé) avec trois groupes d'étude regroupés par cabinet de médecine générale. Les groupes d'intervention ont été divisés comme suit : (1) recrutement actif lors de la consultation par le propre médecin généraliste, et (2) envoi de l'autotest à domicile par le propre médecin généraliste. Le groupe témoin reçoit l'invitation standard pour le dépistage de la population du CvKO.
Les données CvKO et BCR facilitent le recrutement ciblé des cabinets de médecins généralistes et de leurs patients. Les données de l’RCT sont liées aux données sur la participation au dépistage (via ou non l'autotest) et aux résultats cliniques de celui-ci. En outre, le lien avec le statut socio-économique est étudié à un niveau agrégé via un lien avec la Bureau Carrefour de la Sécurité Sociale (BCSS).
Les résultats de l'étude ESSAG seront publiés dans des revues scientifiques et communiqués à Kom op tegen Kanker (en tant que sponsor du projet). Ce projet fournira des informations importantes pour l'organisation future du Vlaams Bevolkingsonderzoek Baarmoederhalskanker, qui communiquera également les résultats de la recherche au gouvernement flamand et au groupe cible.
Dépistage du cancer